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L'histoire récente compte un bon nombre de
scandales pharmaceutiques. Qui sont les vrais responsables de ces scandales ?
Très certainement des inconscients ou conscients criminels à la recherche du
profit maximum, mais aussi de plus en plus, comme nous l'apprend récemment l'épisode du covid 19 et ses injections expérimentales, des personnes corrompues au service
du mondialisme.
1) Quelques scandales sanitaires
1961 - Euro News : le sandale du Thalidomide
Le Thalidomide est un médicament utilisé
durant les années 1950 et 1960 comme sédatif et anti-nauséeux, notamment chez
les femmes enceintes.
Il a été découvert qu'il était à l'origine de graves malformations congénitales.
Environ 12 000 fœtus ont été affectés par le thalidomide en naissant avec des
défauts congénitaux. Ces effets tératogènes ont été dans un premier temps occultés ou niés, notamment
par le fabricant Grünenthal GmbH (de) et dans un deuxième temps, ils ont fait
l'objet d'un scandale sanitaire qui a abouti au retrait du médicament du marché
mondial à partir de 1961. Il a fallu attendre plus de 50 ans pour que le
directeur du laboratoire Grünenthal GmbH fasse des excuses à ses victimes.
(Vidéo
2012, 1mn)
Le diéthylstilbestrol (DES) est un œstrogène
de synthèse qui fut commercialisé sous le nom de Distilbène ou stillbestrolBorne
entre les années 1948 et 1977, censée prévenir des fausses couches. Bien que,
très rapidement (dès 1953), des études eussent démontré l'inefficacité de cette
molécule, rien ne put arrêter l'engouement mondial pour ce nouveau médicament,
qui prit une ampleur considérable.
Les effets délétères de ce médicament sur la descendance étaient irréversibles
pour la génération d'enfants exposés au DES in utero née entre 1948 et 1977 :
pour environ 80 000 enfants, des anomalies génitales ont causé chez les filles comme chez les garçons une infertilité, et pour
leur mère, un risque deux fois plus élevé que les autres de développer un cancer
du sein. L'âge de procréer, pour ces enfants, se situait en majeure partie entre
1975 et 2015.
(Vidéo 2013,
5mn)
https://www.allodocteurs.fr/archives-distilbene-les-garcons-aussi-victimes-du-des-11410.html
Le sida est un scandale médical totalement
emblématique de notre époque, tant par le tapage médiatique dont ce syndrome est
l’objet que par les conséquences dramatiques de la mauvaise interprétation des
phénomènes de déficience immunitaire. Parmi les milliers de chercheurs qui
travaillent sans relâche sur ce virus, aucun n’est jamais parvenu à l'isoler. De
plus une grande partie des décès dû au soit disant Sida est à mettre sur le
compte du premier traitement, l'AZT, un poison qui pour sûr était bien pire que
le mal, un nombre de victimes qui n'a jamais été recensé. Et pendant ce temps, les autorités continuent de matraquer l’opinion
publique avec des statistiques alarmistes.
Les auteurs du livre "Les 10 plus gros mensonges sur le sida" Estienne de Harven
(1953-2019),
docteur en médecine diplômé de l'Université Libre de Bruxelles,
et Jean-Claude Roussez, journaliste scientifique et technique, sont ici interviewé en 2005.
(Vidéo 2005,
31mn)
Certains laboratoires pharmaceutiques
inventent de nouvelles maladies pour lesquelles ils ont déjà prévu de nouveaux
médicaments. Une enquête inédite au cours de laquelle les journalistes ont
réussi à rassembler les preuves de tels agissements à l'étranger comme en
France.
(Vidéo 2012,
1h 13mn)
Brandy Vaughan (14976-2020), ancienne cadre de
l'entreprise Merck, a dénoncé vigoureusement l’obligation vaccinale aux USA
avant de décéder subitement à l’âge de 44 ans. Ci-dessous une des conférence
qu'elle à donné en 2016 aux États Unis, dénonçant les pratiques criminelles des
laboratoires pharmaceutiques, après que son employeur ait été obligé de
retirer de la vente le Viox, un anti-inflammatoire dont son fabricant aurait
dissimulé ses connaissances sur les effets secondaires cardiaques
potentiellement mortels de son médicament. Elle y dénonce aussi la nouvelle obligation
vaccinale de 2015 concernant 9 maladies pour les écoliers californiens. (N'oublions
pas que nous avons nous aussi pour les écoliers en France depuis 2018 une obligation vaccinale
concernant 11 maladies).
(Vidéo 2022,
39mn)
Le Benfluorex, commercialisé sous le nom de
Mediator par les laboratoires Servier de 1976 à 2009, est un principe actif
pharmaceutique, chimiquement proche de la norfenfluramine, une substance toxique
elle-même très proche de l'amphétamine. De 1976 à 2009, près de deux millions de
personnes ont fait l'objet d'une prescription de Mediator.
L’Agence nationale de sécurité du médicament
et des produits de santé (ANSM) a annoncé, lundi 9 novembre 2018, avoir été mise
en examen pour blessures et homicides involontaires par négligence dans
l’affaire de la commercialisation de l’antiépileptique Dépakine.
La molécule en cause, le valproate de sodium, est commercialisée depuis 1967
sous la marque Dépakine par le laboratoire Sanofi, mais aussi sous des marques
génériques, et est prescrite aux personnes souffrant de troubles bipolaires.
Elle présente, néanmoins, un risque élevé de malformations congénitales sur le
fœtus si elle est prise par une femme enceinte. Le nombre d’enfants handicapés à
cause de la Dépakine est estimé entre 15 000 et 30 000 selon les
études. (Vidéo 2021,
2mn)
2019 - France Télévisions : Antidouleurs, l'Amérique dévastée
Très efficaces pour soulager la douleur mais
extrêmement addictifs, les opioïdes ont inondé le marché américain. Ils sont à
l'origine d'une terrible crise sanitaire, avec 72 000 morts d'overdose pour la
seule année 2017. L'OxyContin se présentait comme non addictif malgré la
présence d’opiacés. Évidemment, il n’en était rien et ces petites pilules se
sont répandues comme une traînée de poudre chez les Américains, devenus
littéralement accro à cette substance. La société "Purdue Pharma" a finalement plaidé
coupable d’étiquetage et de qualification mensongère en 2017, et a dû payer une
des plus grosses amendes de l’histoire des scandales pharmaceutiques, ce qu'il
ne l'a pas empêché de continuer à vendre son poison sous un autre nom. (Vidéo 2019,
52mn)
2022 - France Télévisions : La myofasciite à macrophages
A ce jour plus de 66 études scientifiques
ont démontrées la toxicité de l’hydroxyde d’aluminium, cet adjuvant largement
utilisé dans de nombreux vaccins injectables par voie intramusculaire.
L’aluminium dans les vaccins est susceptible de provoquer des pathologies telles
que la fibromyalgie, la scléroses en plaques, la spondylarthrite rhumatoïde
ankylosante, la sclérose latérale amyotrophique, l’hyper activité, les
intolérances alimentaires, l’autisme, la myofasciite à macrophages, le
syndrome de fatigue chronique, un désintéressement social, une
électro-sensibilité, un cancer, une maladie d’Alzheimer ou une maladie de
Parkinson, une myopathie atypique, une myopathie inflammatoire, une maladie
neurodégénérative, le décès …
2) Que sont vraiment les vaccins ?
06 septembre 2023 - Témoignage de Steve Kirsch au Sénat des États-Unis
Le 6 septembre 2023, invité par le sénateur
républicain Doug Mastriano du 33e district de Pennsylvanie, Steve Kirsch, un entrepreneur de
la Silicon Valley, dévoué à la cause anti-vaccinale et bienfaiteur dans la lutte
contre le covid, a témoigné. Il y a dénoncé avant tout le
laxisme des autorités sur une étude promise depuis 18 ans sur la comparaison du
nombre de décès des vaccinés et des non vaccinés, l'omerta sur
l'impossibilité d'accéder aux données de santé publique et de la dangerosité de
la plupart des vaccins. Un discours autant probant qu'effrayant qui ne concerne
pas que les États-Unis. (Vidéo
sous titrée, 2023,
20mn)
2023 - Qu'y a t'il dans les vaccins que nous donnons à nos enfants
(Extrait - Vidéo 2023,
9mn)
Profondément attristé par la disparition
d’Olivier Soulier, le journal numérique Ovalmedia publie ici en manière
d’hommage l’entretien qu’il leur avait accordé quelques mois auparavant. Il
remontait dans cette vidéo à l’une des sources de l’idéologie médicale
dominante, captive de la représentation microbienne défendue par Pasteur, au
mépris d’une autre représentation de l’humain et de la santé, défendue par
Claude Bernard. En fin d’entretien, Olivier Soulier eut ces mots : « Je suis
heureux. En bonne santé. Nullement suicidaire. Pour info, s’il m’arrive quelque
chose ... ». Qu’il repose en paix. (Extrait - Vidéo 2023,
8mn)
Marc Vercoutère (1953-2018), médecin, radié
de l’ordre des médecins durant plus de 25 ans, a donné sa vie pour un idéal,
celui de combattre la vaccination collective. "J’ai consacré ma vie et sacrifié
ma carrière de médecin parce que je suis resté fidèle au serment d’Hippocrate,
en dénonçant la dangerosité et l’inanité de la vaccination industrielle telle
qu’elle se pratique depuis longtemps". (Vidéo
2016,
37mn)
La science a inventé les vaccins, une façon
d'essayer de faire mieux que la Nature. Finalement, ce remède n'est-il pas pire
que le mal qu'il doit combattre ? C'était en tout cas le sentiment de Sylvie
Simon qui nous en parle en toute logique, à l'inverse de la récente propagande
en faveur des injections expérimentales covid qui seront à n'en point douter le
prochain et le plus grand scandale de l'industrie pharmaceutique à venir. Sylvie
Simon (1927-2013), actrice puis antiquaire, devenue sur le tard essayiste et
romancière, spécialiste du domaine de la santé et des dérives de la médecine a
participé à cette vidéo quelques mois avant de nous quitter.
(Vidéo 2013,
15mn)
Troublant. Ce documentaire diffusé par
France 5 en 2008 risque d'ébranler les parents qui s'apprêtent à faire vacciner
leurs jeunes enfants. En alignant plusieurs témoignages de familles québécoises,
françaises et états-uniennes dont un membre a commencé à souffrir d'autisme, de
sclérose en plaques, d'encéphalite ou d'une autre maladie grave après avoir été
vacciné, la cinéaste, Lina Moreco, vient saper la confiance en cette médication
plus que centenaire". (Vidéo
2016,
51mn)
Crises de santé publique https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_scandales_sanitairesLes soins médicaux ne sont pas sans risque et se justifient par l'analyse de leur balance bénéfice - risque. Toutefois certains manquements ont pu conduire à des crises ou scandales sanitaires :
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RM - 2023